Marin Delavaud

Le danseur français Marin Delavaud se forme au conservatoire de Saint-Nazaire avant d’intégrer l’École de danse de l’Opéra national de Paris (2006-2013) puis la Palucca Schule de Dresde (2013-2014). En 2014, il est engagé en tant que demi-soliste au Ballet du Théâtre d’Olomouc en République Tchèque où il danse les grands classiques du répertoire. Il intègre la saison suivante le Ballet du Théâtre de Dessau en Allemagne où il participe en tant que soliste à toutes les créations et reprises du répertoire de la compagnie, et où il se voit par ailleurs confier plusieurs rôles chantés et parlés dans des comédies musicales. Dans son parcours il s’est notamment illustré dans Deca Dance (solo d’ouverture) d’Ohad Naharin, Aunis de Jacques Garnier, Vertigo Maze de Stijn Celis, Roméo et Juliette (Mercutio) et Rusalka (rôle principal) de Robert Balogh, Casse-Noisette (Pastorale) et Le Lac des cygnes (danse espagnole) d’Hana Vláčilová, Le Mandarin merveilleux (rôle principal) de Tomasz Kajdanski. Il rejoint ensuite le Ballet de l’OnR en 2017 ou il danse 27’52’’ (Red) de Jiří Kylián, Chaplin (rôle-titre) de Mario Schröder, Bless-ainsi soit-IL (Jacob), Fireflies, Les Ailes du désir (Peter Falk), Pour le reste et Nous ne cesserons pas de Bruno Bouché, The Heart of my heart et Yours, Virginia (Le Jardinier) de Gil Harush, Black Milk (solo boy) et Kamuyot (solo d’ouverture) d’Ohad Naharin, Le Lac des cygnes de Radhouane El Meddeb, Maria de Buenos Aires (L’esprit d’El Duende) de Matias Tripodi, Alice (Le Prince) d’Amir Hosseinpour et Jonathan Lunn, West Side Story (Chino) de Barrie Kosky, Giselle (Hilarion) de Martin Chaix, Enemy in the Figure et Quintett de William Forsythe, On achève bien les chevaux (d’après Horace McCoy) de Clément Hervieu-Léger, Daniel San Pedro et Bruno Bouché, Sous les jupes de Pierre-Émile Lemieux-Venne et Casse-Noisette (Le Roi des Rats) de Rubén Julliard.

Mise à jour en 2025.